Sur les souffrances des humains. Moi, qui subjuguais la puissance,
Dit l'actrice, j'ai bien des fois Fait savourer à l'indigence
La coupe où s'enivraient les rois. Dieu lui-même, etc.
Oui, reprend la s
Mieux qu'un ministre des autels
A descendre en paix dans la tombe, Ma voix préparait les mortels. Offrant à ceux qui m'ont suivie Dit la nymphe, une douce erreur Moi, je faisais chérir la vie : Le plaisir fait croire au bonheur. Dieu lui-même, etc..
Aux bons cœurs, ajoute la
Quand mes prières s'adressaient, Du riche je portais l'aumône
pauvres qui me bénissaient. Moi, dit l'autre, la détresse
Voyant l'honnête homme abattu, Avec le prix d'une caresse,
Cent fois j'ai sauvé la vertu. Dieu lui-même, etc.
Entrez, entrez, ô tendres femmes ! Répond le portier des élus ; La charité remplit vos ames; Mon Dieu n'exige rien de plus. On est admis dans son empire, Pourvu qu'on ait séché des pleurs, Sous la couronne du martyre
Ou sous des couronnes de fleurs. 'Dieu lui-même, etc.
L'HIVER redoublant ses ravages Désole nos toits et nos champs; Les oiseaux sur d'autres rivages Portent leurs amours et leurs chants. Mais le calme d'un autre asile Ne les rendra pas inconstans : Les oiseaux que l'hiver exile Reviendront avec le printemps. A l'exil le sort les condamne,
Et, plus qu'eux, nous nous en gémissons!
Du palais et de la cabane
L'écho redisait leurs chansons.
Qu'ils aillent d'un bord plus tranquille Charmer les heureux habitans.
Les oiseaux, etc.
33.96 1,1)
Oiseaux fixés sur cette plage, Nous portons en Déjà à plus d'un so 'un sombre nuage S'élève et gronde au au fond du nord.
Heureux qui sur une aile agile Peut s'éloigner quelques instans! Les oiseaux, etc.
Ils penseront à notre peine, Et l'orage enfin dissipé,
Ils reviendront sur le vieux chêne
Que tant de fois il a frappé.
Pour prédire au vallon fertile
De beaux jours alors plus constans,
AIR: Faut d' la vertu, pas trop n'en faut. ou: La seul' prom'nade qu'a du prix...
FAUT qu'lord Villain-ton aît tout pris ; Į N'y a plus d'argent dans c'gueux d'Paris.
Du métier d' fille j' me dégoûte ; C' commerce n' rapporte plus rien. Mais si l' public nous fait banqu'route C'est qu' les affaires n' vont pas bien. Faut qu' lord Villain-ton, etc.
Au bonheur on fait semblant d' croire; Mais j'en jug' mieux qu' tous les flatteurs. Si d' la cour je n' savais l'histoire, J' croirais quasi qu'on a des mœurs. Faut qu' lord Villain-ton, etc.
Nous servions d' maîtress' et d' modèles A nos peintres gorgés d'écus.
J' crois qu'à leux femm's y sont fidèles D'puis qu'les modèles n'servent plus. Faut qu' lord Villain-ton, etc.
Quand n'y a pas l'moindr' profit-z-à faire Sur tant de r'formés mécontens, Les juges p't-êtr' f'raient not' affaire ; Mais l' roi n' leux en laisse pas l' temps. Faut qu' lord Villain-ton, etc.
Enfin, je n' trouvons plus not' compte Avec nos braves qu'l'on vexa.
Vu leux misère, y aurait d' la honte A leux d' mander queuq' chos' pour ça. Faut qu' lord Villain-tón, etc.
Heureusement qu' monsieur La.... A nous servir s'est-z-engagé :
Comme un diable, y s' demène, y crie Pour qu'on rend' les biens du clergé. Faut qu' lord Villain-ton, etc.
mmmmmmmmmmmmmm
AIR: Eh! non, non, non, vous n'êtes pas Ninette.
Quor! Lisette, est-ce vous!
Vous, en riche toilette !
Vous, avec des bijoux !
Vous, avec une aigrette ! Eh, non, non, non, Vous n'êtes plus Lisette. Eh! non, non, non, Ne portez plus ce nom.
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