Comptent des Français de plus (1), Charles-Quint portait envie Tout est perdu fors l'honneur! Oui, soyons de notre pays. Louis, dit-on, fut sensible (3) (1) Il est nécessaire de rappeler que M. le Comte d'Artois avait dit : « Il n'y a rien de changé en France; «< il n'y a qu'un Français de plus. (2) François Ier. (3) Les journaux du temps racontèrent que, sur une lettre du Roi, l'empereur Alexandre avait promis de renvoyer en France tous les prisonniers faits sur nous dans la malheureuse campagne de Russie. Dont l'hiver le plus terrible A seul flétri les lauriers. Près des lis, qu'ils soutiendront, Enchaîné par la souffrance, Redoutons l'anglomanie, (1) Charles V, dit le Sage. (2) Le Roi avait dit à Saint-Ouen, aux maréchaux Masséna, Mortier, Lefevre, Ney, etc., qu'il s'appuierait sur eux, I N'allons point en Germanie Que leurs femmes et leurs vins. Notre gloire est sans seconde : Qu'il nous vienne un gai refrain, Et voilà le monde en train! Mes amis, mes amis, Soyons de notre pays, En servant notre patrie, Où se fixent pour toujours Les plaisirs et l'industrie, Les beaux-arts et les amours, Aimons, Louis le permet, Tout ce qu'Henri quatre aimait. Mes amis, mes amis, Oui, soyons de notre pays. REQUÊTE PRÉSENTÉE PAR LES CHIENS DE QUALITÉ, POUR OBTENIR QU'ON LEUR RENDE L'ENTRÉE LIBRE AU JARDIN DES TUILERIES. (JUIN 1814.) AIR: Faut d'la vertu, pas trop n'en faut... PUISQUE le tyran est à bas, Aux maîtres des cérémonies bis. Les chiens du faubourg Saint-Germain., Puisque le tyran est à bas, Des chiens dont le pavé se couvre On sent que les honneurs du Louvre Puisque le tyran est à bas, Quoique toujours, sous son empire, Puisque le tyran est à bas, Quand sur son règné on prend des notes, Puisque le tyran est à bas, En attrapant mieux que des puces, On a vu carlins et bassets |