 Qu'il va lentement le navire A qui j'ai confié mon sort ! Au rivage où mon cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée! Douce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés...  Œuvres complètes de P.J. de Béranger - Side 163af Pierre-Jean de Béranger - 1834Fuld visning - Om denne bog
 | 1819 - 642 sider
...doucement, le navire A qui j'ai confié mon sort! • Au rivage où mon cœur aspire , Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée ! Douce contrée!...mourir. Mais enfin , le matelot crie : Terre ! terre ! là-bas ; voyez ! . Ah ! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie! Oui, v'oîtâ les rives... | |
 | 1819 - 640 sider
...trouver un port .' France adoree ! Douce contrée! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir.. « Qu'uu Vent rapide Soudain nous guide Aux bords sacrés où...mourir. Mais enfin, le matelot crie : Terre! terre! là-bas; voyez! Ah! tous mes maux' sont oubliés. Salut à ma patrie ! Oui, voilà les rives de France.... | |
 | 1819 - 992 sider
...doucement , le navire A qui j'ai confié mon sort! Au rivage où mou cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port! France adorée! Douce contrée! Mes yeux cent fois ont cru te découvrirl ' Qu'un vent rapide Soudain nous guide . . . • Aux bords sacrés où je reviens mourir.... | |
 | Pierre-Jean de Béranger - 1822 - 252 sider
...aspire, Qu'il est lent à trouver un port ! France adoiéc ! Douée contrée ! Mes yeux cent fois o;it cru te découvrir. Qu'un vent rapide Soudain nous...mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre ! terre ! là-l>as , voyez ! ''Ah ! tous mes ;maux «ont oubliés. Saint à ma patrie ! (fer) Oui, voilà les... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1829 - 510 sider
...lentement le navire A qui j'ai confié mon sort ! Au rivage où mon cœur aspire. Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée ! Douce contrée...mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre ! terre ! là-bas , voyez ! Ah ! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie ! ( ter. ) Oui , voilà les... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1829 - 538 sider
...lentement le navire A qui j'ai confié mon sort! Au rivage où mon cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port! France adorée! Douce contrée! Mes...sacrés où je reviens mourir. Mais enfin le matelot cric : Terre! terre! là-bas, voyez! Ah! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie! (ter.) Oui,... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1832 - 666 sider
...mon sort! Au rivage où mon cœur aspire , Qu'il est lent à trouver un port! France adorée ! Donce contrée ! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Sondain nous guidè Aux bords sacrés où je reviens mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre! terre!... | |
 | Pierre Jean de Béranger - 1833 - 538 sider
...mon sort! Au rivage où mon cœur aspire , Qu'il est lent.à trouver un port,i France adorée ! Donce contrée! Mes yeux cent fois ont cru te découvrir. Qu'un vent rapide Sondain nous gnide Aux bords sacrés où je reviens mourir. Mais enfui le matelot cric : Terre ! terre... | |
 | Pierre-Jean de Béranger - 1834 - 484 sider
...lentement le navire A qui j'ai confié mon sort ! Au rivage où mon cœur aspire , Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée ! Douce contrée!...! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie ! (fer.) Oui, voilà les rives de France ; Oui , voilà le port, vaste et sûr, Voisin des champs où... | |
 | Fleurs - 1834 - 264 sider
...lentement le navire A qui j'ai confié mon sort! Au rivage où mon cœur aspire, Qu'il est lent à trouver un port ! France adorée ! Douce contrée...mourir. Mais enfin le matelot crie : Terre ! terre ! là-bas, voyez ! Ah ! tous mes maux sont oubliés. Salut à ma patrie ! Oui, voilà les rives de... | |
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