d'abord que la chaleur dégagée lorsque le système acquiert son état définitif est beaucoup moindre, en général, pour les sels simples que pour les systèmes formés par la fusion de deux sels mélangés: circonstance qui paraît une conséquence de l'existence, à la température de la fusion, de sels doubles véritables, appartenant aux mêmes types chimiques que les chlorures doubles, chlorobromures, sulfates doubles, carbonates doubles, dont l'existence est définie par leur formation exothermique à la température ordinaire. On conçoit que l'association de deux sels simples puisse donner lieu à certaines combinaisons qui demeurent exothermiques à la température ordinaire; tandis que d'autres combinaisons des mêmes sels, en proportion différente, deviennent endothermiques pendant le refroidissement. Il faut remarquer que la formation de certains sels doubles endothermiques étant anhydres et à la température ordinaire peuvent devenir exothermiques avec leur eau de cristallisation; le sel double anhydre pouvant se former d'ailleurs avec dégagement de chaleur dans l'état de fusion ignée. Les sels doubles de divers genres jouent un rôle important dans un grand nombre de réactions opérées par voie sèche. On obtient par voie de fusion ignée des sels doubles dont la dissociation et les décompositions reproduisent leurs composants cristallisés. Les principes qui règlent cet ordre de réactions par voie sèche sont exactement les mêmes que ceux qui règlent les réactions par voie humide. Dans ces deux cas, les équilibres résultent de l'intervention de composés secondaires existant à l'état de dissociation partielle. Ces réactions et ces équilibres sont les conséquences normales des principes thermochimiques. - M. Berthelot fait remarquer que, dans l'électrolyse, les couples zinc-charbon et zinc-platine ne peuvent être assimilés dans le calcul des quantités de chaleur développées par les réactions; car la chaleur dégagée par l'attaque du zinc et de l'acide n'est pas la même avec le charbon, celui-ci exerçant des réactions propres et compliquées. M. Debray présente un travail qu'il avait commencé avec feu Sainte-Claire Deville sur les alliages explosifs du zinc et des métaux du platine. Comme on ne peut diviser mécaniquement les osmiures, il faut avoir recours à un artifice. On les fait fondre en les maintenant quelques heures dans vingt-cinq parties de zinc ne fusion, et après avoir volatilisé le zinc il reste une masse spongieuse facile à diviser et à attaquer par le mélange d'azotate de baryte et le bioxyde de barium. Il est facile ensuite d'éliminer la baryte et de faire l'analyse de l'osmiure. Cherchant l'action du zinc dans ces combinaisons, ces auteurs ont trouvé que l'osmium était le seul des métaux du platine qui ne retenait pas de zinc quand on traite son alliage à grand excès de zinc par un acide capable de dissoudre ce métal; les autres en retiennent en moyenne 1/10 et restent à l'état de métaux particuliers, qui semblent être une modification allotropique des véritables alliages à apparence métallique. L'action du zinc sur l'osmiure d'iridium se trouve expliquée. La chaleur dégagée dans la combinaison iridium-zinc étant supérieure à celle dégagée par la combinaison osmiumiridium, l'osmiure est détruit par le zinc, il se dissout et peut cristalliser dans l'excès de métal; mais les autres métaux restent unis au zinc. C'est le résidu de l'action de HCl sur l'osmiure d'iridium à excès de zinc, qui constitue la matière explosible. La chaleur dégagée est vraiment énorme, il y a incandescence de toute la masse métallique. M. A. Ditte avait déjà montré que la décomposition des sels par les liquides s'effectue suivant des lois bien déterminées qui la mettent au nombre des phénomènes de dissociation que H. Sainte-Claire Deville a bien découverts. M. Ditte étudie aujourd'hui le cas particulier où le liquide considéré est une matière fondue. La connaissance de ce qui se produit dans ces circonstances peut contribuer à expliquer certains faits naturels; elle peut montrer, par exemple, comment des minéraux formés des mêmes éléments, mais dans des proportions diverses, ont pu se former par le même dissolvant en fusion. — M. H. Baubigny, continuant ses études sur les actions de l'hydrogène sulfuré, sur les solutions de sulfate acide de nickel, recherche dans une nouvelle note l'influence de la chaleur. - MM. Gauthier et Étard, continuant leur étude sur le mécanisme de la fermentation putride des matières protéiques, font remarquer que, dès le début, on trouve, outre les produits déjà connus, une masse de glucoprotéines et de substance protéique soluble qui ne disparaît que lentement. Cette putréfaction, malgré sa complexité apparente, s'explique par cette seule considération que la formation putride dissèque la molécule albuminoïde en procédant par simple hydratation et mettant ainsi en évidence les noyaux multiples entrant dans la constitution de la molécule protéique qui se désagrège; c'est un mode puissant de dédoublement des albuminoïdes par hydratation. Il faut donc que les corps aromatiques observés et les bases que ces auteurs ont rencontrés préexistent à l'état de noyau dans la molécule albuminoïde. L'existence de l'indol et des bases pyridiques et hydropyridiques dans les produits dérivés des albuminoïdes par hydratation putréfactive oblige à admettre, pour plusieurs des radicaux de la molécule protéique, les liaisons de l'azote et du carbone qui caractérisent les séries homologues de C5 AzH5 et C5 AzH7. -M. A. Béchamp, à propos du mémoire présenté, le 22 mai à l'Académie, par MM. Paul Bert et Regnard, refait l'historique de l'action décomposante que certaines substances organisées exercent sur l'eau oxygénée. PATHOLOGIE EXPÉRIMENTALE. M. P. Gibier, se fondant sur ces deux faits que la température de 37° à 38° est la plus favorable pour le développement des bactéries, et que M. Pasteur était parvenu à inoculer le charbon à des oiseaux en les refroidissant, alors qu'ils ne peuvent le contracter à la température ordinaire, M. Gibier a pu rendre charbonneuses cinq grenouilles sur vingt inoculées et placées dans de l'eau à la température de 35° à 37°. Des expériences de M. Gibier il résulte que le charbon n'a pris que sur les grenouilles qui jeûnaient depuis quelque temps, qu'il a pris plus facilement chez les grenouilles qui ont été placées brusquement dans l'eau tiède que chez celles qu'on avait préalablement acclimatées; enfin, qu'il n'a pu se développer sur des grenouilles nouvellement capturées ni sur celles qui avaient été jadis inoculées à froid. Ces faits font ressortir l'importance, pour la réceptivité des maladies infectieuses, des conditions d'aptitude morbide à l'organisme chez un animal physiologiquement réfractaire. M. Rodet, pour rechercher le mécanisme d'absorption des virus par les plaies, inocula de la matière charbonneuse très active au bout de l'oreille de douze lapins et, un quart d'heure après, coupa cet organe à 1 centimètre pour les quatre premiers lapins, à trois centimètres pour quatre autres et à la base aux quatre derniers. Les quatre premiers moururent, ainsi que trois de la deuxième série, et un seul de la dernière série. L'autopsie de ces animaux a montré que le processus charbonneux avait pris chez six lapins la voie lymphatique, chez un la voie sanguine, et enfin chez un, une voie mixte. M. Rodet en conclut que: 1o l'absorption par les vaisseaux sanguins est très rare, même dans les plaies où l'on penserait a priori qu'elle doit être facile; 2° l'absorption mixte, à la fois par les voies sanguines et lymphatiques, est relativement rare; 3° enfin, dans la très grande majorité des cas, l'absorption se fait par les vaisseaux lymphatiques. Ces conclusions paraissent être un puissant encouragement pour l'intervention chirurgicale, si l'on n'a guère à craindre la terrible rapidité d'infection, résultant d'un transport par la circulation sanguine, et si, presque toujours, le virus doit suivre lentement les voies lymphatiques, on est autorisé à compter beaucoup sur l'intervention chirurgicale, quelle que soit la nature de la plaie, même plusieurs heures après une inoculation. CHRONIQUE LE BUREAU DE STATISTIQUE DE BELGIQUE. M. le général Liagre, secrétaire perpétuel de l'Académie de Belgique, nous fait savoir que la commission centrale de statistique, dont M. Liagre est président, n'a pas été supprimée, comme il a été dit par erreur dans notre Revue de statistique. La dotation annuelle n'a jamais été l'objet d'aucune réduction. Le budget du département de l'intérieur dont le détail paraît tous les ans au Moniteur est là pour le prouver. FACULTÉ DES SCIENCES DE PARIS. Aujourd'hui samedi 24 juin, à dix heures, dans la salle des examens, M. Koenigs soutiendra, pour obtenir le grade de docteur ès sciences mathématiques, une thèse ayant pour sujet : Sur les propriétés infinitésimales de l'espace réglé. Le gérant: FÉLIX ALCAN. SEMAINE ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE Le projet de budget de la ville de Paris pour l'exercice de 1883 vient d'être déposé sur le bureau du conseil municipal par M. le préfet de la Seine. Comme les années précédentes, ce document établit l'excellente situation financière de la capitale. Tous les services municipaux sont largement dotés, la plupart reçoivent des allocations supérieures à celles de l'année 1882, et, non seulement l'élévation des recettes permet de faire face à toutes ces dépenses, mais encore le budget comprend, sous le titre de «fonds de réserve », un chapitre s'élevant à plus de 10 millions. Ce fonds de réserve, ordinairement employé aux dépenses non prévues, dépasse de beaucoup les dépenses probables, et l'on peut estimer qu'après le règlement du budget de 1883, il restera encore un excédent d'au moins 7 à 8 millions; de plus, les recettes de l'octroi sont prévues pour 140 millions; or, en 1882, elles ont donné un total de 148 millions; il y a là, en réalité, une réserve de 7 à 8 millions que l'on retrouvera au budget rectificatif prochain. C'est donc environ une somme de 15 millions que l'on peut considérer comme excédant normalement les dépenses ordinaires de la ville de Paris. Cet excédent pourrait servir soit à gager un emprunt de 300 millions, soit à dégrever les contribuables, soit à entreprendre de grands travaux. Le 20 juin a eu lieu l'assemblée générale des actionnaires du Crédit foncier de France. On sait que cette réunion avait pour but de statuer sur les modifications à apporter aux statuts par suite du projet d'absorption de la Banque hypothécaire. Le traité intervenu a été accueilli avec faveur par les actionnaires, après une allocution du gouverneur. Les résultats du scrutin ont donné satisfaction aux défenseurs du projet, qui a été voté à la presque unanimité. Voici les résolutions votées : « 1° L'assemblée générale approuve le traité conditionnel passé avec la Banque hypothécaire de France, tel qu'il vient de lui être soumis, et dont copie sera insérée au procèsverbal. « Et en conséquence, elle accepte, pour le Crédit foncier de France, le mandat de liquidateur de la Banque hypothécaire de France dans les termes et les conditions prévus au traité; « 2o Approuve les modifications à apporter aux articles 1, 2, 3, 4, 5, 24, 28, 51, 58, 59, 76 et 89 des statuts du Crédit foncier. » Avant la fin de l'assemblée du Crédit foncier, on connaissait déjà les résultats de l'assemblée des actionnaires de la Banque hypothécaire, qui avaient à statuer sur la même question. Par 1453 voix contre 223 voix, les actionnaires de la Banque hypothécaire ont ratifié le traité intervenu, malgré la vive opposition d'un actionnaire qui trouvait que la combinaison était trop favorable au Crédit foncier. En somme, la question est tranchée par les principaux intéressés, et il ne reste plus à obtenir que la sanction des pouvoirs publics. A partir du 1er juillet, les receveurs percepteurs de Paris et les percepteurs de la banlieue sont chargés de payer pour le compte du payeur central de la dette publique les arrérages des rentes sur l'État, les traitements de la Légion d'honneur et les pensions de la médaille militaire. AVIS LACROIX. RENOUVELLEMENT D'ABONNEMENT DU 1er JUILLET. Les abonnés dont l'époque de renouvellement échoit à la fin de juin et qui désirent à cette occasion changer les conditions de leur souscription et profiter des avantages que leur présente, soit l'abonnement d'un an, s'ils ne sont abonnés qu'au semestre, soit la souscription aux deux REVUES Scientifique et Politique et Littéraire, sont priés d'en avertir immédiatement MM. Germer Baillière et Cie. Tous les bureaux de poste de France et de l'étranger étant autorisés à recevoir les abonnements, l'administration des REVUEs prend à sa charge la remise perçue par l'administration des postes. Nos abonnés des départements n'ont donc qu'à verser, au bureau de poste de leur résidence, le montant de leur abonnement, tel qu'il est annoncé sur la couverture. Les abonnés qui, d'ici au 30 juin, n'auront fait parvenir aucun avis au bureau de la Revue, seront considérés comme désirant continuer leur abonnement dans les mêmes conditions. En conséquence, ils recevront par l'entremise des porteurs, soit à Paris, soit dans les départements, une quittance analogue à celle qui leur a été dėja remise lors de leur première souscription. TABLE DES MATIÈRES CONTENUES DANS LE TOME XXIX (III DE LA TROISIÈME SÉRIE) JANVIER 1882 A JUILLET 1882 AGRICULTURE. COUTY (Louis): Le café, 481. GUIGNARD L'embryogénie des légumineuses, HECKEL (Ed.): Structure et développement de WAHL (M.): L'Algérie au point de vue agricole, Revue de botanique, 247, 663. ANTHROPOLOGIE. BORDIER (A.): Les milieux et le transformisme, CORNEVIN (Ch.): La domestication du cheval, 578. DELAUNAY (Gaëtan): De l'égalité et de l'inéga- LE BON (G.): La formation actuelle d'une race TOPINARD: Les laboratoires et la crâniologie, ZABOROWSKI: L'âge du bronze en Angleterre et La durée de la vie dans les villes et les campa- ART MILITAIRE. La question de l'eau en Tunisie, 435. Les armes à tir rapide, 203. ASTRONOMIE. CHIMIE.. BERTHELOT (de l'Institut) : Les matières explo- LAUTH (Ch.): La porcelaine, son histoire, sa PABST (A.) : Programme d'un cours sur les HYGIÈNE. COLIN (Léon): La fièvre typhoide dans l'armée, GEORGE (Hector) : L'hygiène de l'ouvrier dans LOMBROSO (Cesare): Le poison du mais et la Revue d'hygiène, 282, 564. MATHÉMATIQUES. BADOUREAU: Essai sur le tracé rationnel des 143. ENSEIGNEMENT DES SCIENCES. GÉOGRAPHIE. MÉTÉOROLOGIE. L'expédition polaire internationale, MINERALOGIE. Fouqué et Michel Lévy: La reproduction artifi- PALÉONTOLOGIE. HUXLEY: L'origine et les progrès de la paléon- FONTPERTUIS (F. de): L'Australie, son explo-Revue de paléontologie, 52, 406. GALLIENI Une expédition française au Niger, CALLANDREAU (O.): La conférence internationale TEIsserenc de Bort (Léon): Les parages du cap CATALAN (Eug.): Des dimensions de l'univers Revue de géographie, 21, 308, 628. HERVÉ-FAYE (de l'Institut) : La figure des PHYSIOLOGIE. CHAMBERLAND: Les microbes dans la production CHARBONNEL-SALLE: Propriétés électriques des ZABOROWSKI: De l'âge de la formation pam-RICHET (Charles): Comparaison des muscles, HISTOIRE DES SCIENCES. CANDOLLE (Alph. de): Notes sur Charles Darwin, 657. des nerfs et des centres nerveux, 46. PHYSIQUE. CROVA (A.): La photométrie, 224, 752. CORNIL: La chaire d'anatomie pathologique à la HOSPITALIER: Les générateurs mécaniques d'é- lectricité, 280. ROCHAS (A. de): La physique et la mécanique MASCART: Deux leçons préliminaires d'électri- OLIVIER (Louis): Les photographies astrono- MAGGI De l'analyse micrographique des eaux BADOUREAU Accident des mines de Liévin, CORRESPONDANCE. Lettre de M. Alix: Sur le service sanitaire de la profession médicale, 725. Lettre de M. Bonnier : Sur l'enseignement des Publications nouvelles. 159, 224, 607. Sommaires des principaux recueils American Journal of Science (1882, no 3), 447. Lettre de M. Jousset de Bellesme: Sur la théo- Annales agronomiques (1881, no 11 et 12), Lettre de M. G. Le Bon: Sur la méthode des et 8), 223. Lettre de M. Victor Pompilian: Sur l'enseigne-Archiv für die gesammte Physiologie: (1881, Lettre de M. Salet Sur les photographies ACADÉMIE DES SCIENCES DE PARIS. 29, 62, 92, 125, 157, 190, 216, 252, 286, 317, BIBLIOGRAPHIE. Causerie bibliographique. BILLINGS (J.-S.): La bibliographie médicale, ALGLAVE et BOULARD : La lumière électrique, son WURTZ (de l'Institut): Discours prononcé dans BACLÉ (L.) Les voies ferrées, 244. ZOOLOGIE. histoire, sa production, son emploi, 244. BOURDEAU : Théorie des sciences plan de APOSTOLIDÈS (N.-Ch.): Anatomie et développe-BoURNEVILLE et REGNARD : L'iconographie tographique de la Salpêtrière, 243. DARWIN (Ch.): La formation de la terre végé- BUCHNER: La vie psychique des bêtes, 404. GIROD (Paul): Recherches sur la poche du noir EVANS (John): L'âge du bronze, 215. : Archives de physiologie normale et patholo- Archives générales de médecine : (1881, no 11 à Archivio per le scienze mediche : (t. IV, no 4, à Biological Laboratory (Studies from the): (t. II, Bulletin de la Société d'anthropologie de Paris : pho-Bulletin de la Société de géographie : (1881, FONTPERTUIS (F. de): Chine, Japon, Siam et Bulletin de la Société impériale des natura- GUILLEMIN (A.): Le monde physique, 244. MILNE-EDWARDS (Alph., de l'Institut): La résis- 244. listes de Moscou : (1881, no 2), 670. Bulletin du Comité géologique italien : (1881- Cosmos (1881, nos 8 à 12), 384, 671. Journal de physique : (1881, no 11 à 1882, no 4), Revue de zoologie et de paléontologie, 52, NICOLAS, LACAZE et SIGNOL Guide hygiénique Journal of mental science: (1882, no 1 à 4), Revue de statistique, 728. Revue de thérapeutique, 87, 376. et médical des voyageurs dans l'Afrique in- 384, 671. PERRIER Anatomie et physiologie animales, 759. PLATEAU Traité de zoologie élémentaire, 60. Revue de zoologie et d'anatomie, 52, 120, 406, RIBOT : L'hérédité psychologique, 213. Revue d'hygiène, 282, 564. Revue du temps, 95, 222, 352, 479, 575, 733. SERPA PINTO: Comment j'ai traversé l'Afrique, TYNDALL: Les microbes, 701. Journal of physiology: (1882, nos 1 à 4), 607. Matériaux pour l'histoire primitive et naturelle Revue de chirurgie : (1881, no 6 à 12), 223. Revue des sciences naturelles : (t. I, nos 2 et 3), Zeitschrift für physiologische Chemie (1881, n° 1), 224. Mittheilungen aus der zoologischen Station zu Revue d'anthropologie : (1881, no 4), 32; (1882, Rivista di filosofia scientifica : (t. I, no 4), 671. Revue internationale des sciences biologiques: (1882, nos 1 à 4), 58, 671, 735. CHRONIQUE. Revue médicale de la Suisse romande : (1881, 96, 128, 159, 256, 320, 384, 415, 448, 480, 512, 545. Société de géographie. CONGRÈS SCIENTIFIQUES. Association scientifique de France. HERVÉ-FAYE La figure des comètes, 289. BERTHELOT: Les matières explosives, 75, 109. GALLIENI: Une expédition française au Niger, REGNARD (P.): Les sorcières, 385. Thèses pour le doctorat de la Faculté des sciences de Paris. APOSTOLIDÈS (N.-Ch.): Anatomie et développe- Société de géographie commerciale. École d'anthropologie. Congrès international des électriciens. : Conférences faites à l'Exposition d'électricité. CHARBONNEL-SALLE Propriétés électriques des BORDIER (A.): Les milieux et le transformisme, HOSPITALIER nerfs moteurs. 780. GIROD (Paul): Recherches sur la poche du noir des Céphalopodes des Côtes-du-Nord, 345. 238. Société d'anthropologie de Lyon. GUIGNARD L'embryogénie des légumineuses, CORNEVIN (Ch.): La domestication du cheval, : Les générateurs mécaniques Congrès des Sociétés savantes. Réunion des délégués des Sociétés savantes : Association des médecins militaires DU BOIS-REYMOND: L'exercice, 97. Congrès médical international BILLINGS (J.-S.): La bibliographie médicale, Société des médecins et chirurgiens JACOBI Virchow, 514. |