Romps ces nœuds, oui, romps-les pour toujours: Dans mes bras, tombe enfin à ton tour; Ingrat, si tu pouvais te plaindre, AIR: J'ons un curé patriote. MON épouse fait ma gloire : Rose a de si jolis yeux! Je lui dois, l'on peut m'en croire, Un ami bien précieux. Le jour où j'obtins sa foi, Ah! monsieur le sénateur De ses faits je tiens registre : Quel honneur! Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Près de Rose il n'est point fade, Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur. Chez moi qu'un temps effroyable Me retienne après-dîner, me dit, d'un air aimable: « Allez donc vous promener, » Mon cher, ne vous gênez pas ; » Mon équipage est là-bas. » Quel honneur! Quel bonheur! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur. Certain soir, à sa campagne Quel bonheur ! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur. A l'enfant que Dieu m'envoie, Quel bonheur! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur. A table il aime qu'on rie; Jusqu'à lui dire au dessert: Quel bonheur! Ah! monsieur le sénateur, Je suis votre humble serviteur. L'ACADÉMIE ET LE CAVEAU. CHANSON DE RÉCEPTION AU CAVEAU MODERNE. AIR Tout le long de la rivière. Au Caveau je n'osais frapper; Que rassemble un couvert bien mis. Je me voyais, pendant un mois, |