LE VILAIN. (1815.) AIR: De Ninon chez madame de Sévigné. EH! quoi, j'apprends que l'on critique Le de qui précède mon nom. Êtes-vous de noblesse antique? Moi, noble? oh! vraiment, messieurs, non. Non, d'aucune chevalerie Je n'ai le brévet sur vélin. Je ne sais qu'aimer ma patrie........ (bis) Je suis vilain, Vilain! vilain. Ah! sans un de j'aurais dû naître; (bis) Maudit le pouvoir absolu. Ce pouvoir, sur sa vieille base, Ils éatient le grain qu'elle écrase. Je suis vilain, Vilain, vilain. Mes aïeux, jamais dans leurs terres, Jamais leurs nobles cimeterres Dans les bois n'ont fait peur aux gens. Je suis vilain, Vilain, vilain. Jamais aux discordes civiles Et quand l'église, par sa brigue, |